| Désiré Nisard - 1878 - 438 pages
...qu'elles remplissent de façon l'imagination de celui qui escoute, qu'il n'aye aucune souvenance des mots. Le parler que j'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche ; un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné que véhément et brusque,... | |
| Antonin Roche - 1878 - 456 pages
...style, Montaigne semble l'avoir très-bien caractérisé lui-même : « Le parler que j'aime, dit-il, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche : un parler succulent, court et nerveux, non tant délirât et peigné, comme véhément et brusque...... | |
| Jacques Claude Demogeot - 1878 - 584 pages
...écoute, de façon qu'il n'ait aucune souvenance des mots. » Aussi le langage de Montaigne est-il « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche, un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné que véhément et brusque,... | |
| Michel de Montaigne - 1879 - 698 pages
...l'imagination de celuy qui escoute, qu'il n'aye aulcune souvenance des mots. Le parler que i'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche; un parler succulent et nerveux, court et serré; non tant délicat et peigné , comme véhément et... | |
| Paul Souquet - 1880 - 226 pages
...remplissent de façon l'imaginatien de celui qui escoute. qu'il n'ayt aulcune souvenance des mots. Le parler que j'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche; un parler succulent et nerveux, court et serré; non tant délicat et peigné, comme vehement et brusque... | |
| Désiré Nisard - 1880 - 476 pages
...qu'elles remplissent de façon l'imagination de celui qui escoute, qu'il n'aye aucune souvenance des mots. Le parler que j'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche; un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné que véhément et brusque,... | |
| Jacques Claude Demogeot - 1880 - 592 pages
...écoute, de façon qu'il n'ait aucune souvenance des mots. » Aussi le langage de Montaigne est-il « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche, un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné que véhément et brusque,... | |
| Jacques Demogeot - 1880 - 738 pages
...écoute, de façon qu'il n'ait aucune souvenance, jes mots. » Aussi le langage de Montaigne est-il « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche, un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné que véhément et brusque,... | |
| Gustave Merlet - 1881 - 672 pages
...remplissent de fnçon l'imagination de celuy qui escoute, qu'il n'aye aulcune souvenance des mots. Le parler que j'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche*; un parler succulent et nerveux, court et serré; non tant délicat et peigné, comme véhément et... | |
| Jacques Demogeot - 1883 - 758 pages
...écoute, de façon qu'il n'ait aucune souvenanct des mots. » Aussi le langage de Montaigne est-il « un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche, un parlésucculent et nerveux, court et serré, non tant délicat etpeigiK que véhément et brusque,... | |
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