La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire; elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près; plus on la connaît plus on l'admire; elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort dans... Journal des Savants - Page 4051713Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean de La Bruyère - 1829 - 818 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire. Elle se laisse toucher et manier; elle ne perd rien à être vue de près : plus on la connoît , plus on l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort... | |
| François duc de La Rochefoucauld, Blaise Pascal, Jean de La Bruyère - 1834 - 776 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre, douce , familière , populaire. Elle se laisse toucher et manier ; elle ne perd rien à être vue de près : plus on la connoît, plus on l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs , et revient sans effort... | |
| Jean de La Bruyère - 1839 - 584 pages
...petitesse. La veritable grandeur est libre, douce , familière , populaire. Elle se laisse toucher et manier: elle ne perd rien à être vue de près : plus on la connaît , plus ou l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, cl revient sans effort... | |
| Blaise Pascal - 1839 - 702 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire; elle se laisse toucher et manier ; elle ne perd rien à être vue de près : plus on la connoît , plus on l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs , et revient sans effort... | |
| 1847 - 782 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre , douce , familière , populaire. Elle se laisse toucher et 'on est par là, comme on devrait connaît , plus on l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort... | |
| Jean de La Bruyère - 1847 - 544 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre, douce , familière , populaire. Elle se laisse toucher et manier ; elle ne perd rien à être vue de près : plus on la connaît, plus on l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs , et revient sans effort... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1851 - 534 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire; elle se laisse toucher et manier ; elle ne perd rien à être vue de près : plus on la connaît, plus on l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 570 pages
...définit : « La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire; elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près; plus on la connaît, plus on l'admire : elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1855 - 536 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire ; elle se laisse toucher et manier; elle ne perd rien à être vue de près: plus on la connaît , plus on l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs , et revient sans effort... | |
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