La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire; elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près; plus on la connaît plus on l'admire; elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort dans... Journal des Savants - Page 4051713Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Eugène Geruzez - 1861 - 524 pages
...définit: « La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire, elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près ; plus on la connaît, plus on l'admire ; elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort... | |
| Jean de La Bruyère - 1864 - 640 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre , douce , familière , populaire. Elle se laisse toucher et manier ; elle ne perd rien à être vue de près : plus on la connaît , plus on l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs , et revient sans effort... | |
| Jean de La Bruyère - 1868 - 452 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire; elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près ; plus on la connaît, plus on l'admire ; elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et re1. Voient qu'il se... | |
| Aymar-Olivier Le Harivel de Gonneville - 1875 - 482 pages
...vraie. « La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire ; elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près ; plus on la connaît, plus on l'admire; elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort... | |
| Aymar Olivier Le Harivel de Gonneville - 1875 - 486 pages
...vraie. « La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire; elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près ; plus on la connaît, plus on l'admire; elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort... | |
| Eugène Geruzez - 1877 - 522 pages
...définit: « La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire, elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près ; plus on la connaît, plus on l'admire ; elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort... | |
| Jean de La Bruyère - 1878 - 452 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire ; elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près ; plus on la connaît, plus on l'admire ; elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et re1. Voient qu'il se... | |
| Etienne Allaire - 1886 - 660 pages
...petitesse. La véritable grandeur est libre, douce, familière, populaire ; elle se laisse toucher et manier, elle ne perd rien à être vue de près ; plus on la connaît, plus on l'admire. Elle se courbe par bonté vers ses inférieurs et revient sans effort dans... | |
| Jean de La Bruyère - 1890 - 546 pages
...petitesse. La véritable grandeur * est libre , douce , familière, populaire ; elle se laisse toucher * et manier, elle ne perd rien à être vue de près , plus on la connaît, plus on l'admire : elle se courbe par bonté vers ses inférieurs, et revient sans effort... | |
| René Gonnard - 1898 - 546 pages
...petitesse. L» véritable grandeur * est libre, douce, familière, populaire ; elle se laisse toucher * et manier, elle ne perd rien à être vue de près , plus on la connaît, plus on l'admire : elle se courbe par bonté versees inférieurs, et revient sans effort... | |
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