... obstacle au mouvement de l'eau du fleuve , mais comme corps en mouvement , et en mouvement contraire et opposé à celui du courant de l'eau du fleuve ; ce remous fait un contre-courant d'autant plus sensible que la marée est plus forte : l'autre... Théorie de la terre, de l'eau, de l'air - Page 289 de François Para du Phanjas - 1772 Affichage du livre entier -
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