| Alfred Fouillée - 1893 - 418 pages
...grande que le présent fait renaître le passé avec tous ses détails et toutes ses circonstances : Les voilà, ces buissons où toute ma jeunesse Comme un essaim d'oiseaux chante au bruit de mes pas. Les psychologues, même ceux de l'école anglaise, ne nous semblent pas avoir donné une suffisante... | |
| Alfred de Musset - 1895 - 328 pages
...chemin ? L£S voilà, 1 ces coteaux, ces bruyères fleuries, Et ces pas argentins sur le sable muet, 2 Ces sentiers amoureux, remplis de causeries, Où son...désert où passa ma maîtresse, Ne m'attendiez-vous pas ? Ah ! laissez-les couler, elles me sont bien chères, Ces larmes que soulève un cœur encor blessé... | |
| Alfred de Musset - 1895 - 330 pages
...chemin ? Les voilà,1 ces coteaux, ces bruyères fleuries, 10 Et ces pas argentins sur le sable muet,2 Ces sentiers amoureux, remplis de causeries, Où son...verdure, Cette gorge profonde aux nonchalants détours, 15 Ces sauvages amis, dont l'antique murmure A bercé mes beaux jours. Les voilà, ces buissons où... | |
| Louise Both-Hendriksen - 1897 - 236 pages
...chemin ? Les voilà ces coteaux, ces bruyères fleuries, 20 Et ces pas argentins sur le sable muet, Ces sentiers amoureux, remplis de causeries, Où son...verdure, Cette gorge profonde aux nonchalants détours, 26 Ces sauvages amis dont l'antique murmure A bercé mes beaux jours. Je ne viens point jeter un regret... | |
| André Le Breton - 1898 - 416 pages
...cœur »... Les voilà, ces coteaux, ces bruyères chéries, Et ces pas argentins sur le sable muet... Les voilà, ces buissons où toute ma jeunesse Comme un essaim d'oiseaux chante au bruit de mes pas ! «Je trouve la campagne plus riante, la verdure plus fraîche et plus vive, l'air plus pur, le ciel... | |
| Arthur Graves Canfield - 1899 - 430 pages
...déchirée Jusqu'à mourir. Mais j'aime trop pour que je die Qui j'ose aimer, Et je veux mourir pour ma mie Les voilà, ces sapins à la sombre verdure, Cette...où passa ma maîtresse, Ne m'attendiez-vous pas? Ah ! laissez-les couler, elles me sont bien chères, Ces larmes que soulève un cœur encor blessé... | |
| Louise Both-Hendriksen - 1900 - 232 pages
...chemin ? Les voilà ces coteaux, ces bruyères fleuries, 20 Et ces pas argentins sur le sable muet, Ces sentiers amoureux, remplis de causeries, Où son...verdure, Cette gorge profonde aux nonchalants détours, 25 Ces sauvages amis dont l'antique murmure A bercé mes beaux jours. Je ne viens point jeter un regret... | |
| 1902 - 1198 pages
...(LAMARTINE, Le lac}. Les voilà, ces coteaux, ces bruyères fleuries, Et ces pas argentins sur le sable muet, Ces sentiers amoureux, remplis de causeries, Où son...désert où passa ma maîtresse, Ne m'attendiez-vous pas ? Ah ! laissez-les couler, elles me sont bien chères, Ces larmes que soulève un cœur encor blessé... | |
| 1904 - 586 pages
...argentins sur le sable muet, Ces sentiers amoureux remplis de causeries. Où son bras m'enlaçait. L Les voilà, ces sapins à la sombre verdure, Cette...amis, dont l'antique murmure A bercé mes beaux jours, Suit la description de la forêt. Puis il revient à la pensée principale r 0 puissance du temps !... | |
| Marcel Braunschvig - 1904 - 256 pages
...(Lamartine.) Dans ceux-ci les souvenirs qui se réveillent sont comparés à des oiseaux qui chantent : Les voilà ces buissons où toute ma jeunesse, Comme un essaim d'oiseaux, chante au bruit de mes pas ! (A. de Musset.) Et dans ceux que voici c'est au contraire un objet matériel qui se trouve comparé... | |
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