Cours de Code pénal: Explication théorique et pratique des dispositions preliminaires et des deux premiers livres du Code pénal. Appendice: Leçons de législation crimVidecocq, 1854 - 544 pages |
À l'intérieur du livre
Page 11
... première question de mes prolégomènes : Qu'est - ce que le Droit pénal ? Cette question est dominée par une question plus générale qu'est - ce que le Droit ? -- En effet , si le Droit n'est pas antérieur et supérieur aux volontés ...
... première question de mes prolégomènes : Qu'est - ce que le Droit pénal ? Cette question est dominée par une question plus générale qu'est - ce que le Droit ? -- En effet , si le Droit n'est pas antérieur et supérieur aux volontés ...
Page 27
... Première période du V au XI ' siècle . - Je l'ap- pellerai la période Germanique . - Deuxième période du XI au XIII ' siècle . C'est la période Féodale . Troisième période du XIII ' au XVI siècle . - C'est la période de transition et de ...
... Première période du V au XI ' siècle . - Je l'ap- pellerai la période Germanique . - Deuxième période du XI au XIII ' siècle . C'est la période Féodale . Troisième période du XIII ' au XVI siècle . - C'est la période de transition et de ...
Page 29
... première couche qui s'était laissé trop imprégner de l'élément romain ? - M. Guizot dit oui , dans ses Essais sur l'histoire de France ( 1 ) ; M. de Chateaubriand dit non , dans sa préface des Études historiques ( 2 ) . Quoi qu'il en ...
... première couche qui s'était laissé trop imprégner de l'élément romain ? - M. Guizot dit oui , dans ses Essais sur l'histoire de France ( 1 ) ; M. de Chateaubriand dit non , dans sa préface des Études historiques ( 2 ) . Quoi qu'il en ...
Page 66
... première atteinte , est grandement entamé et tend à disparaître . Les crimes désignés sous la dénomination de tra- hison et de foi mentie , les attentats aux liens hiérar- chiques de la féodalité sont punis de mort et de la privation ...
... première atteinte , est grandement entamé et tend à disparaître . Les crimes désignés sous la dénomination de tra- hison et de foi mentie , les attentats aux liens hiérar- chiques de la féodalité sont punis de mort et de la privation ...
Page 69
... première convocation est de 1302 . • Cette ébauche du gouvernement représentatif dont la constitution n'eut rien de régulier et de définitif , dut sa naissance à un intérêt fiscal et politique.- La royauté associait la bourgeoisie aux ...
... première convocation est de 1302 . • Cette ébauche du gouvernement représentatif dont la constitution n'eut rien de régulier et de définitif , dut sa naissance à un intérêt fiscal et politique.- La royauté associait la bourgeoisie aux ...
Autres éditions - Tout afficher
Cours de Code pénal: Explication théorique et pratique des dispositions ... Alfred Bertauld Affichage du livre entier - 1854 |
Cours de Code pénal: Explication théorique et pratique des dispositions ... Alfred Bertauld Affichage du livre entier - 1854 |
Cours de Code pénal: Explication théorique et pratique des dispositions ... Alfred Bertauld Affichage du livre entier - 1854 |
Expressions et termes fréquents
28 avril actes afflictive et infamante aggravation appliquée Boitard caractère cause châtiment circonstances atténuantes coauteur Code d'instruction criminelle Code Napoléon Code pénal complice complicité condamné condition contrat social contravention contumace Cour d'assises Cour de cassation cumul des peines défense dégradation civique délit délits déportation détention est-elle faculté Faustin-Hélie forcés à perpétuité haute police infractions juge juridiction jury justice morale l'aggravation l'amende l'application l'art l'emprisonnement l'étranger l'exécution l'idée de vengeance l'infraction LEÇON légale législation liberté loi ancienne loi morale loi nouvelle loi pénale loi salique lois maximum ment mineur de seize minimum mort civile peine accessoire peine afflictive peine correctionnelle peine de mort peine des travaux peine principale période pouvoir social prescription présomption principe prononcée punir punissable qu'autant qu'une question raison Rauter récidive réclusion règle répression Rossi sanction second crime seize ans serait seulement société solution souveraineté spéciale subordonnée surveillance système tentative théorie tion travaux forcés violation violé volonté
Fréquemment cités
Page 105 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 96 - Il est expédient à l'État que tu meures», il doit mourir, puisque ce n'est qu'à cette condition qu'il a vécu en sûreté jusqu'alors, et que sa vie n'est plus seulement un bienfait de la nature, mais un don conditionnel de l'État.
Page 397 - Les peines prononcées par la loi contre celui ou ceux des accusés reconnus coupables, en faveur de qui le jury aura déclaré les circonstances atténuantes, seront modifiées ainsi qu'il suit : « Si la peine prononcée par la loi est la mort, la cour appliquera la peine des travaux forcés à perpétuité ou celle des travaux forcés à temps...
Page 386 - S'il s'agit d'un crime emportant la peine de mort, ou celle des travaux forcés à perpétuité, ou celle dt la déportation, la peine sera réduite à un emprisonnement d'un an à cinq ans ; S'il s'agit de tout autre crime, elle sera réduite à un emprisonnement de six mois à deux ans. Dans ces deux premiers cas, les coupables...
Page 340 - II n'ya ni crime ni délit, lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l'action , ou lorsqu'il a été contraint par une force à laquelle il n'a pu résister.
Page 386 - Lorsque les faits punis par l'article précédent auront été commis par suite d'un plan concerté, les coupables pourront être mis, par l'arrêt ou le jugement, sous la surveillance de la haute police pendant deux ans au moins et cinq ans au plus.
Page 499 - Où tout le monde veut faire ce qu'il veut , nul ne fait ce qu'il veut; où il n'ya point de maître, tout le monde est maître ; où tout le monde est maître , tout le monde est esclave.
Page 96 - Qui veut la fin veut aussi les moyens, et ces moyens sont inséparables de quelques risques ; même de quelques pertes. Qui veut conserver sa vie aux dépens des autres doit la donner aussi pour eux quand il faut. Or le citoyen n'est plus juge du péril auquel la loi veut qu'il s'expose; et quand le prince lui a dit, II est expédient à l'état que tu meures...
Page 105 - Les délits et les crimes étant personnels, le supplice du coupable et les condamnations infamantes quelconques n'impriment aucune flétrissure à sa famille. L'honneur de ceux qui lui appartiennent n'est nullement entaché, et tous continueront d'être admissibles à toutes sortes de professions, d'emplois et de dignités.
Page 87 - Quelle est l'origine de l'opinion qui étend sur tous les individus d'une même famille une partie de la honte attachée aux peines infamantes que subit un coupable? Cette opinion est-elle plus nuisible qu'utile? Et dans le cas où l'on se déciderait pour l'affirmative, quels seraient les moyens de parer aux inconvénients qui en résultent?