La culture des terres est presque abandonnée ; les villes et la campagne se dépeuplent ; tous les métiers languissent , et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti. Par. conséquent vous avez détruit la moitié des forces réelles... Correspondance de Feńelon: archeveq̂ue de Cambrai - Page 338de François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1827 - 11 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Daniel Pétillet - 1801 - 486 pages
...La France entière n'est plus qu'un grand hôpital & sans provision ; les magistrats sont avilis & épuisés ; la noblesse dont tout le bien est en décret, ne vit que des lettres d'état ; vous êtes importuné de la foule des gens qui deman dent & qui murmurent. C'est... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 704 pages
...défendre de vaincs conquêtes au dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple , il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans 'provisions. Les magistrats sont avilis et épuisés. La noblesse , dont tout le bien est en décret... | |
| Jean Le Rond d' Alembert - 1821 - 638 pages
...défendre de vaines conquêtes au dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple , il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière...'n'est plus qu'un, grand hôpital désolé et sans provisions. Les magistrats sont nvilis et épuisés. La noblesse , dont tout le bien est en décret... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - 234 pages
...forces réelles du dedans de votre Etat, pour faire et pour défendre de vaines conquêtes au-dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple ,...plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision. Lesmagistrats sont avilis et épuisés. La noblesse, dont tout le bien est en décret, ne vit que de... | |
| Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen - 1881 - 576 pages
...d'Avranches recevait de Pontchartrain la lettre suivante : (i) « Vos peuples. . . meurent de faim. . . La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision » (Fénelon. Lettre à Louis XIV j. — Voir Gaillardin , Hist. de France, t. V, p. 446. — Voir,... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1827 - 560 pages
...préféré son avantage à la justice et à la bonne foi. Cependant vos peuples, que vous devriez armer comme vos enfans, et qui ont été jusqu'ici si passionnés...tout le bien est en décret, ne vit que de lettres d'Etat. Vous êtes importuné de la foule des gens qui demandent et qui murmurent. C'est vous-même... | |
| 1843 - 800 pages
...l'aumône et le nourrir. La France entière n'est pKis qu'un grand hôpital désolé et sans provisions. Les magistrats sont avilis et épuisés. La noblesse, dont tout le bien est on décret , ne vit que de lettres d'État. Vous êtes importuné de la foule des gens qui demandent... | |
| Karl Joseph von Hefele - 1836 - 756 pages
...défendre de vaines conquêtes au dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière...noblesse, dont tout le bien est en décret, ne vit que 82 LETTRE DE FÉNELON de lettres d'état. Vous êtes importuné de la foule des gens qui demandent... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1845 - 742 pages
...défendre de vaines conquêtes audehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple , il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière...tout le bien est en décret, ne vit que de lettres d'Etat. Vous êtes importuué de la foule des gens qui demandent et qui murmurent. C'est vous-même,... | |
| Auguste de Girardot - 1845 - 556 pages
...in-8°, (2) Dime royale. t Ait lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il fau• drail lui laire l'aumône et le nourrir. La France entière » n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provisions.... • Les émotions populaires deviennent fréquentes , Paris mi'me, •• si près de... | |
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