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CXLIV. De Bossuet à dom Lami. Sur sa Démonstration de la Pro-
position susdite.
CXLV. Au même. Sur le même sujet.
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405
CXLVI. De dom Lami. Sur le même sujet, et sur une Refutation
de Spinosa.
CXLVII A dom Lami. Sur le même sujet.
Ibid.
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408
CXLVIII. De dom Lami. Il envoie à Bossuet de nouveaux éclaircis-
semens sur sa Démonstration.
SENTIMENT DE M. L'EVÊQUE DE MEAUX sur la Démonstration au su-
jet de la satisfaction de Jésus-Christ, avec les REMARQUES de
dom Lami.
LETTRES de diverses personnes sur le même sujet.
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438
CXLIX. A M. Lefevre d'Ormesson. Sur la source du mérite des
bonnes œuvres, et la manière dont la charité opère. 443
CL. A dom Mabillon. Il lui demande des éclaircissemens sur l'é-
tendue de la persécution dans l'Occident. 446
CLI. A M. de Rancé. Sur le retard de la publication du Commen-
taire de cet abbé, et l'armement du prince d'Orange. 448
CLII. A dom Mabillon. Sur une lettre du cardinal Colloredo, et
les menaces qu'on faisoit contre l'Eglise catholique et contre la
France.
449
CLIII. A M. l'abbé Renaudot. Il lui témoigne le désir de le voir ad-
mis dans l'Académie française.
450
CLIV. De M. l'abbé Renaudot. Sur la lettre suivante.
CLV. De milord Perth. Ses dispositions au milieu des souffrances
que sa fidélité pour son Roi lui attiroit.
CLVI. A milord Perth. Bossuet le félicite du bonheur qu'il a de
souffrir pour la foi et pour son prince, lui témoigne le désir qu'il
a de travailler au salut de l'Angleterre.
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455
CLVII. A M. de Rancé. Sur son Commentaire de la Règle de saint
Benoit.
460
CLVIII. Au même. Sur les égaremens du ministre Jurieu, l'exemp
tion de Jouarre, et un nouveau Commentaire de la Règle de
saint Benoit, par un Bénédictin.
CLIX. A dom de Montfaucon, Bénédictin. Sur son livre concer-
nant l'Histoire de Judith.
461
462
CLX. A M. Santeul, chanoine régulier de Saint-Victor. Il loue la
pièce de vers que ce poète avoit composée pour s'excuser des
reproches qui lui avoient été faits, lui parle de ses hymnes de
saint Bruno, et d'un poème fait contre sa Pomone.
463
CLXI. A M. de Rance. Sur la défense que cet abbé avoit faite aux
religieuses des Clairets, de lire l'ancien Testament. Page 465
CLXII. A M. Santeul. Sur le présent que ce poète lui avoit fait
d'une de ses pièces, et sur la manière dont on peut se servir de
la fable.
468
467
CLXIII. Au même. Sur une de ses pièces, et sur un sermon prêché
à Saint-Victor.
CLXIV. A M. l'abbé Renaudot. Sur l'arrivée de milord Perth. 469
CLXV. Au P. Mauduit, prêtre de l'Oratoire. Sur deux Psaumes en
vers, que ce Père lui avoit envoyés; sur les Interprètes protes-
tans, et les sources où le prélat ayoit puisé pour composer ses
notes sur les Psaunies.
470
471
CLXVI. A M. de Rancé. Sur les dispositions du Roi pour la Trappe,
et le triste état des affaires.
CLXVII. A M. Nicole. Sur les maux causés à la religion en France
par les Protestans, et sur Richard Simon. 472
CLXVIII. Au maréchal de Bellefonds. Sur la mort de son fils. 474
CLXIX. A M. le cure de Doué. Si les ecclésiastiques doivent être
nommés avant les seigneurs, au catalogue des morts.
CLXX. A mademoiselle Dupré. Sur la mort de M. Pelisson.
CLXXI. A mademoiselle de Scudery. Sur le même sujet.
AUTRE LETTRE sur le même sujet.
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477
478
CLXXII. A M. Nicole. Il lui témoigne qu'il préfère les notes
courtes dans les explications de l'Ecriture sainte; et fait men-
tion de quelques fautes qui s'étoient glissées dans ses notes sur
Salomon.
483
CLXXIII. A milord Perth. Sur la liberté qui lui étoit accordée de
sortir d'Angleterre, et les grâces que Dieu lui avoit faites dans
sa prison.
484
CLXXIV. A ***. Il dépeint au naturel le livre de Simon, et le ca-
ractère de cet écrivain.
485
CLXXV. De M. de la Broue, évêque de Mirepoix. Sur des éclaircis-
semens que demandoit Bossuet, touchant les Albigeois; sur les
erreurs de M. Dupin, et sur M. de Saint-Pons.
CLXXVI. De Leibniz. Sur l'essence des corps.
486
488
RÉFLEXIONS du même sur l'avancement de la métaphysique réelle,
et particulièrement sur la nature de la substance expliquée par la
force. 490
RÉPONSE du même aux objections contre l'explication de la nature
du corps, par la notion de la force.
495
CLXXVII. A Leibniz. Jugement que Bossuet porte de ses écrits
sur l'essence du corps.
CLXXVIII. De Leibniz. Sur la réponse de Bossuet.
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499
CLXXIX. Du même. Sur les avantages de la dynamique, et les di-
vers jugemens qu'on portoit de son systême.
503
CLXXX. A M. de Rancé. Vœux qu'il forme pour l'abbaye de la
Trappe. 507
CLXXXI. Au P. Caffaro, Theatin. Il se plaint d'une lettre en forme de Dissertation, sur la comédie, publiée sous le nom de ce Père. 508
CLXXXII. Du P. Caffaro. Il s'excuse sur la publication de la lettre
qui portoit son nom, et promet de se rétracter.
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MAXIMES ET RÉFLEXIONS SUR LA COMÉDIE.
I. Occasion et dessein de ce traité : nouvelle Dissertation en faveur
de la comédie.
II. A quoi il faut réduire cette question.
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536
III. Si la comédie d'aujourd'hui est aussi honnête que le prétend
l'auteur de la Dissertation.
537
IV. S'il est vrai que la représentation des passions agréables ne les
excite que par accident.
539
V. Si la comédie d'aujourd'hui purifie l'amour sensuel en le faisant
aboutir au mariage.
VI. Ce que c'est que les mariages du théâtre.
544
547
VII. Paroles de l'auteur, et l'avantage qu'il tire des confessions. 549
VIII. Crimes publics et cachés dans la comédie. Dispositions dan-
gereuses et imperceptibles : la concupiscence répandue dans
tous les sens.
550
IX. Qu'il faut craindre en assistant aux comédies, non-seulement
le mal qu'on y fait, mais encore le scandale qu'on y donne. 557
X. Différence des périls qu'on cherche et de ceux qu'on ne peut
éviter.
558
559
561
XI. Si on a raison d'alléguer les lois en faveur de la comédie.
XII. De l'autorité des Pères.
XIII. Si l'on peut excuser les laïques qui assistent à la comédie, sous
le prétexte des canons qui la défendent spécialement aux ecclé-
siastiques. Canon mémorable du concile 1 de Tours. 563
XIV. Réponse à l'objection, qu'il faut trouver du relâchement à
l'esprit humain : que celui qu'on lui veut donner par la représen-
tation des passions est réprouvé même par les philosophes : beaux
principes de Platon.
566
XV. La tragédie ancienne, quoique plus grave que la nôtre, con-
damnée par les principes de ce philosophe.
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XVI. Les pièces comiques et risibles rejetées par les principes du
même Platon.
570
XVII. Que les femmes ne moutoient pas sur l'ancien théâtre. Ibid.
XVIII Sentiment d'Aristote.
571
XIX. Autre principe de Platon sur cette matière.
XX. Silence de l'Ecriture sur les spectacles: il n'y en avoit point
parmi les Juifs: comment ils sont condamnés dans les saintes
Ecritures: passages de saint Jean et de saint Paul. 574
XXI. Réflexion sur le Cantique des Cantiques et sur le chant de
l'Eglise.
572
577
XXII. On vient à saint Thomas: exposition de la doctrine de ce
saint.
578
mas.
XXIII. Première et seconde réflexion sur la doctrine de saint Tho-
580
XXIV. Troisième réflexion sur la doctrine de saint Thomas: passage
de ce saint docteur contre les bouffonneries. 582
XXV. Quatrième, cinquième et sixième réflexion: passage expres
de saint Thomas, et conciliation de ses sentimens.
XXVI. Sentiment de saint Antonin.
583
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XXVII. Profanation de la sainteté des fêtes et du jeûne introduite
par l'auteur ses paroles sur le jeûne.
588
XXVIII. Doctrine de l'Ecriture et de l'Eglise sur le jeûne.
XXIX. Nouvel abus de la doctriue de saint Thomas.
XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte
de la sanctification des fêtes.
XXXI. Réflexions sur la vertu qu'Aristote et saint Thomas après lui
ont appelée, Eutrapelia. Aristote est combattu par saint Chry-
sostôme sur un passage de saint Paul.
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XXXII. Passages de saint Ambroise et de saint Jérôme sur les dis-
cours qui font rire.
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XXXIII. Passages de saint Basile sur le sérieux de la vie chrétienne.
609
XXXIV. Conséquence de la doctrine précédente.
611
XXXV. Conclusion de tout ce discours.
612
FIN DE LA TABLE DU TOME TRENTE-SEPTIÈME.
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