...ressemblait un peu au père de M. Jourdain, cet « honnête gentilhomme qui se connaissait eu étoffes, en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et les donnait à ses amis pour de l'argent » . Ainsi les marchands français, en recevant le prix, songeaient...

...ressemblait un peu au père de M. Jourdain, cet « honnête gentilhomme qui se connaissait en étoffes, en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et les donnait à ses amis pour de l'argent » . Ainsi les marchands français, en recevant le prix, songeaient...

...marchand ? C'est pure mddisance : il ne 1'a jamais e'te'. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il e"tait fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait fort bien en e'toffes, il en allait choisir de tous les c6te"s, les faisait apporter chez lui, et en donnait a ses...

...de marchand, c'est du même ordre : « Lui, marchand! C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. » (Le Bourgeois gentilhomme, acte IV, se. m.) Suite du même sujet : Si les hommes avaient la langue...

...qu'il a été marchand. COVIELLE. — Lui marchand ! C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. MONSIEUR JOURDAIN. — Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là, que...

...Jourdain, qui me veulent dire que mon père a été marchand'? — Lui marchand! c'est pure médisance. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui et en donnait à ses amis pour de l'argent. B « Vraiment, poursuit M. Gide, je demande pardon pour ces réminiscences littéraires que suggère...

...dire qu'il a été marchand. COVIELLE. Lui, marchand! C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était* fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. MoNSIEUR JOURDAIN. Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là que mon...

...qu'il a été marchand. COVIELLE. — Lui marchand! C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. MONSIEUR JOURDAIN. — Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là, que...

...définition que donne Covielle, dans le Bourgeois gentilhomme, du commerce de M. Jourdain, le père : « II était fort obligeant, fort officieux ; et, comme...bien en étoffes, il en allait choisir de tous les cni.cs. les faisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. » Cette façon...

...qu'il a été marchand. COVIELLE. — Lui, marchand ? C'est pure médisance, 11 ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...étoffes, il en allait choisir de tous les côtés, 20 les faisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. M. JOURDAIN. — Je suis...