| Eugène Crépet - 1861 - 794 pages
...vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste....leurs coups épouvantables Résisté sans courber le des ; Mais attendens la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus... | |
| Edouard Fournier - 1861 - 388 pages
...satisfait. Il raya le dernier hémistiche des deux vers, et, peut-être sur l'épreuve, il écrivit : La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, etc. Était-ce mieux? Sans doute, puisque La Fontaine en a jugé ainsi. X Cent fois, surtout depuis... | |
| Édouard Fournier - 1861 - 394 pages
...satisfait. Il raya le dernier hémistiche des deux vers, et, peut-être sur l'épreuve, il écrivit : La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, ete. Était-ce mieux? Sans doute, puisque La Fontaine en a jugé ainsi. X Cent fois, surtout depuis... | |
| 1862 - 720 pages
...sans importance numérique, » nous dirions, en empruntant le modeste langage du Roseau de la fable : Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas. Je m'appelle la liberté et non l'unité dogmatique. Je ne ferai pas un reproche à M. Rognon d'être... | |
| 1862 - 722 pages
...importance numérique, » nous dirions, en empruntant le modeste langage du Roseau de la fable : Hais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas. Je m'appelle la liberté et non l'unité dogmatique. Je ne ferai pas un reproche à M. Rognon d'être... | |
| Alfred G. Havet - 1863 - 508 pages
...Je vous défendrais de l'orage: Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste."...naturel; mais quittez ce souci: Les vents me sont moins qu'a vous redoutables. Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables... | |
| Jean de La Fontaine - 1863 - 332 pages
...plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature enveu vous me semble bieu injutt* Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un...naturel : mais quittez ce souci; Les vents me sont moins qu'a vous rcd Je plie et ne romps yas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résiste... | |
| Vrais Ornements - 1864 - 572 pages
...vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords.1 des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste....qu'à vous redoutables : Je plie et ne romps pas. Vous avea jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la... | |
| Académie des sciences, belles-lettres et arts d'Angers - 1864 - 620 pages
...front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas '. Ailleurs, les deux poètes se sont encore plus rapprochés l'un de l'antre, non par l'identité... | |
| J. Delpech - 1866 - 366 pages
...vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Snr les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste....Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Késisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon... | |
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