 | Edouard Fournier - 1879 - 438 pages
...satisfait. Il raya le dernier hémistiche des deux vers, et, peut-être sur l'épreuve, il écrivit : La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, etc. Était-ce mieux? Sans doute, puisque La Fou.taine en a jugé ainsi. Cent fois, surtout depuis... | |
 | George Eugène Fasnacht - 1880 - 286 pages
...Dont je couvre le voisinage, 35 Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : La nature envers vous me semble bien injuste.— Votre...: Les vents me sont moins qu'à vous redoutables; 5 Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber... | |
 | George Eugène Fasnacht - 1880 - 236 pages
...Dont je couvre le voisinage, 35 Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : La nature envers vous me semble bien injuste.— Votre...: Les vents me sont moins qu'à vous redoutables; 5 Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber... | |
 | H M Jones - 1881 - 120 pages
...vous défendrais de l'orage ; IO Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste....l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci : 1 5 Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici... | |
 | Pierre Augustin Pellissier - 1881 - 508 pages
...principe; c'était au Chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit est sec et même menaçant : Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables} J« plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici, Contre leurs coups épouvantables, Résisté sans courber... | |
 | Jean de La Fontaine - 1883 - 724 pages
...raze les flânez De la plaine colorée A longs souspirs doulx-souflans Qui rident l'onde azurée. — Votre compassion , lui répondit l'arbuste *, Part...souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; aa Je plie , et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans... | |
 | Jean de La Fontaine - 1883 - 722 pages
...raze les flânez De la plaine colorée A longs souspirs doulx-souflana Qui rident l'onde azurée. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste *, Part...souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; a .> Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans... | |
 | Larive (pseud.), Fleury - 1883 - 548 pages
...(Adjectif féminin 3* Ami. DI Gain. (HtiiaiJ. ctp. 21 — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, 19 Part d'un bon naturel; mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables; . : îi Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables 23 Résisté... | |
 | Jean de La Fontaine - 1892 - 484 pages
...tomber..., Soubrettes de les enCler. (V, a66.) SOUCI, soucis : .... Quitte ce vain souci. (VII, 1o3.) * Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel, mais quittez ce souci. (I, i17.) Courons après les gens qui causent mon souci. (VII, 437.) J'approuve ton souci. (VII, 86.)... | |
 | Jean de La Fontaine - 1885 - 394 pages
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvenl Sur les humides bords des royaumes du veut. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dus ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus... | |
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Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables... 
