D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner: Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. D'un... Iphigénie. Phedre. Esther. Athalie - Page 97de Jean Racine - 1801Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-François de La Harpe - 1825 - 552 pages
...la plus vraie de toutes les ardeurs de l'amour : voici ce que la fable permettait d'y ajouter : Je reconnus Vénus et ses feux redoutables , D'un sang...De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain... | |
| 1827 - 584 pages
...la plus vraie de toutes les ardeurs de l'amour : voici ce que la Fable permettait d'y ajouter : Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang...des vœux assidus je crus les détourner : Je lui liâtis un temple et pris soin de l'orner. De victimes mai-même à toute heure entourée , Je cherchais... | |
| Voltaire - 1827 - 724 pages
...Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis tout mou corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit, tourments inévitables. Il est bien clair que puisque Athènes lui montra sou superbe ennemi Hippoly te, elle vitHippolyte.... | |
| Jean Racine - 1829 - 460 pages
...yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. . Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D'un sang...leurs flancs ma raison égarée : D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain sur les autels ma main brùloit l'encens: Quand ma bouche imploroit... | |
| Jean Racine - 1829 - 724 pages
...Mes yeux ne voy oient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux, redoutables, D'un sang...vœux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis uu temple, et pris soin de l'orner; De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchois dans... | |
| Voltaire - 1829 - 564 pages
...yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler ; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Il est bien clair que puisque Athènes lui montra son superbe ennemi Hippolyte, elle vit Hippolyte.... | |
| Jean Racine - 1842 - 458 pages
...Je reconnus Venus et ses feux redoulal/es, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Fardes vœux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis...De victimes moi-même à toute heure entourée , Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée : D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain... | |
| M. V. Philipon de la Madelaine - 1842 - 826 pages
...Mes yeux ne voyaient pas, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Vénus et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. En vain sur les autels ma main brûlait l'encens; D'un incurable amour remèdes impuissants! Quand... | |
| Jean Racine - 1844 - 682 pages
...Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D'un sang...De victimes moi-même à toute heure entourée , Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée : D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain... | |
| Jean Racine - 1844 - 592 pages
...yeux ne voyoient plns, je ne pouiois parler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, • î U'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par...détourner : Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner1; De victimes moi-même à toute heure entourée. Je cheri-bois dans leurs lianes ma raison... | |
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