 | L. Pylodet - 1867 - 330 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'oeil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait... | |
 | Frederick Leypoldt - 1857 - 332 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. ' La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait... | |
 | Antonin Roche - 1867 - 584 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante...rivière qui coulait à mes pieds tour à tour se perJait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle... | |
 | Eugène Borel - 1868 - 478 pages
...le temps consacré au style descriptif, puisqu'il s'agit alors de peindre un étal déjà existant : La scène sur la terre n'était pas moins ravissante....coulait à mes pieds, tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait... | |
 | 1868 - 332 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait... | |
 | Eugène Borel - 1868 - 468 pages
...1>™, ~x~»nlalti lu " \... descriptif, puisqu'il s'agit alors de peindre un état déjà existant : La scène sur la terre n'était pas moins ravissante....descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des c/erbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière, qui coulait... | |
 | François René vicomte de Chateaubriand - 1870 - 478 pages
...ouate éblouissante , si doux à l'œil , qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante...constellations de la nuit , qu'elle répétait dans son sein. Dans une savane , de l'autre côté de la rivière, la clarté de la lune dormait sans mouvement sur... | |
 | 1870 - 322 pages
...•ouate éblouissante, si doux à l'oeil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait... | |
 | Frederick Leypoldt, L. Pylodet - 1870 - 324 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante...coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait... | |
 | Edward Hicks Magill - 1870 - 494 pages
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait3 ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante;...descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des4 gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière, qui coulait... | |
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La scène sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres et poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait... 
